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Par Corbet Damien le 6 Août 2009 à 20:40
Et ma maison de pain…
Je fus comme fou,
Perdu au monde,
Au fantasme et même
Minuit
…
Savez-vous, on dit de nous,
Ces choses que l’on ignore
Celles qui se perdent aux monts,
Aux grandes parties de rires,
Aux ruelles escarpées
…
Bourgs-laids,
Plait-il ?
Et lorsque la nuit tombe,
L’horizon crache ses frontières
Comme une gerbe de couleurs
Et loin des bruits,
Et loin des rumeurs étouffées,
Là-bas,
L’on ramasse sa maison,
Fuyante comme l’été
Et le brouillard est or
Le soleil est tombé
…
Mort.
Pourtant,
Je cherche encore ces routes,
Rome et mon foyer,
Paris n’est pas Beyrouth,
Mais les pigeons l’ont bouffée
…
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Par Corbet Damien le 6 Août 2009 à 18:06
Je laisse les courageux s'y attaquer :)
On aura beau dire…
Canal plus n’est pas raciste,
C’est un mélange des deux clans,
J’insiste !
Noir et
…
Pan !
Pourtant,
Je suis un noir mais je bave blanc,
Crains-moi…
Omelette de tes yeux.
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!I____________I...
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Par Corbet Damien le 6 Août 2009 à 17:09
Il y a des femmes et ma sœur… ma sœur… :
- Êtes-vous croyant mon frère ?
- (Mon dieu ! Quelle paire de fesses, mon dieu !) Hum, pardonnez-moi, je suis athée.
Alors mon père,
Je te comprends,
Ô père, toi,
Pendu !
Tes pieds gigotent encore !
Comédie !
Pourtant…
C’est d’un ennui,
J’en frappe encore ton cœur,
Crevé comme un ballon.
Il me semblait,
Conquis,
Comme ces têtes au bout du fil
Trompant tous mes murmures,
Ô père !
Etais-tu donc le mien ?
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Par Corbet Damien le 6 Août 2009 à 17:07
Je les entends, qui gueulent.
Ça va chi** … !
Ça bouge à gauche,
À droite,
D’une bosse
À l’autre
Extasié !
Quelle paire de fesses
Mêle en coliques,
Cascade de rêves prédigérés,
Gérons,
Dit-gérons !
Silence.
Du soixante neuf au zéro
Nous sommes, pointez !
Mesdames !
Je suis charmé…
Pardonnez-moi,
Je suis…
Sincèrement désolé...
Veuillez patienter.
Votre voix est…
Seriez-vous fâché ?
(Et le téléphone sonne… seul)
Pourtant
Je les entends
Qui gueulent….
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Par Corbet Damien le 4 Août 2009 à 22:15
Perverse mélodie
Flûte de paon,
Déplumée de tous sons,
Chassée…
J’irai siffler tes doigts,
Tel un grand orchestre d’os
…
désaccrodé ?
Je trainerai ta main
Quitte à te l’arracher,
Et je pomperai ces gestes à mes seins
Comme un mari bourré.
Pourtant de ces bouteilles
Tu sais,
Expier de leurs grands trous
Cette joie Malibu
Et mon vagin,
S’émerveille
…
Pourtant
L’avenir n’est plus aux grandes mélodies
Mêle aux dits
Et puis
Plus rien
…
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