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Every Where; Au delà du constat.
Je ne puis enlevé les chaînes à tes maux
bien qu'ils soient lourds de sens
gauche ou droite
le temps trace sur ma peau
...
C'est un procès pour atteinte au plaisir,
de mes mains,
désir,
je lance un appel à tesmoins
car mes plus sont en déclins
...
Ce n'est pas une chanson
loin du rire et de la dérision
je plaide coupable d'être innocent
emprisonné sous deux articles
je...
je...
Je ne sais plus,
je ne sais pas
...
" Aujourd'hui je me mari,
pour l'honneur des uns,
d'un homme au visage indéfini,
je rêve de m'envoler
dormir
...
demain je ne me réveillerais pas,
rêver
de ce qu'hier n'a su m'offrir. "
...
Ce n'est pas un jeu mon enfant
L'oie n'est plus partie,
façonnée par son projet,
elle s'avance
...
" Aujourd'hui j'ai 17 ans
et je me tue à coups d'images,
de pouvoir et d'argent
en retraçant mon histoire,
d'un trait,
de mains sanglantes, ( demain sanglant )
tombe'haut,
j'amorce ma descente ?"
...
" Ma plume vole au vent
ce que vos cœurs volent à mes maux"
"Loin d'une berceuse au chant nouveau
je chante"
Je ne sais plus
je ne sais pas
j'empoigne
un tout
le regard droit
je sème en vous
...
je ne sais quoi.
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Je marche à l'ombre d'un rêve sous miroire
Cannibal au coeur noir, je m'assume sous désespoir
Me dévoilant sous couverture, je dévore l'âme des folies dérisoires
J'arrache à pleine dents la peau des rêves d'autrefois;
Je suis un homme qu'importe ma couleur
Blanc ou noir, seul le rouge calme mes ardeures
Dissequant les méandres du bonheur, je m'impose roi.
Je ne me cache pas j'arbore vos craintes à ma couronne,
Loin du luxe, je vous bois, pompe comme un ivrogne,
Alors je glousse empoignant votre coeur à pleine main,
Sèmant dans vos yeux, l'effroie que le jour emprisonne sur mon chemin.
Je suis un homme noir, vos larmes perlent ma peau,
Mes crimes irriguent votre destin comme l'encre pleure ses mots,
Je suis un homme noir, qui façonne le rêve à coups de couteaux,
Rêvons de demain jusqu'à ce que ma vie nourisse vos maux.
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...
Pardonnez-moi Madame, je vous prie,
D'être à mes yeux l'image de l'indécis.
Vous m'avez pris de bon matin
Sous votre jupe, une fleur à la main.
Sans un geste, un bonjour,
en guise d'excuse :
" Mon bon monsieur, voici venir les beaux jours "
Je me suis fais jardinier,
Plus d'une carte dans ma manche,
Nous avons joué à terrain découvert, stoppé,
Pardonnez-moi, seriez-vous blanche ?
Marguerite ou pâquerette, gracieuse,
Vous êtes venue sous brume, vicieuse.
Je ne saurais vous dire par quels gestes, pour quelle raison,
Dame printemps s'est agencée, parrée de deux rayons.
C'est à tue-tête, acharnée sous passion,
Qu'elle m'eu battu, imposant sa saison.
Bon perdant, seigneur des faits d'hiver,
Je m'en vais prisonnier, traqué par vos primes-vers...
...
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Ne t'en vas pas
loin de nous
loin de...
tout s'en va
...
Perdu dans le courant, je tourne,
tourne,
t'entends ?
Sous la tue-tête du vent
mes cris se perdent,
virevoltent,
inconsciemment
...
de tes maux à mes mots
j'encre l'acte,
du rêve à mon pommeau,
je trace la vie,
tombe'haut
...
Je suis un artiste sans talent,
me vois-tu là-haut ?
Une plume à la main
je sanglotte
m'emporte
à contre courant
...
de l'arme à larme
s'écoule ma peine
une
puis deux
valse insensée
...
s'avancent les perles bleues
Une puis deux,
suis nos voix
ferme les yeux
...
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Je chante à tue-tête
" Halléluia, Amen, Amène "
Et ne repars pas ...
Je suis un homme noir
sombre et mystérieux
riant face à la mort,
un homme en pleure
un homme
en tor
...
alors je chante empoignant mes remords
entre songes,
larmes et réconfort
je me perds
...
ignore ?
Je rigole et danse sous le silence
Sans coeur, le cortège noir s'avance
je m'efface, un pas, puis recommence.
Alors je chante à tue-tête
comme les cloches sonnent l'innocence
d'une fanfare de roses sur le tombeaux
d'un être aimé sous transparence
...
Au fond d'une salle
crucifié sous instance, je m'esclaffe,
glousse
sous les cris qui s'élancent
Alors je chante à tue-tête
je suis un homme noir
sombre et mystérieux
riant face à la mort
je suis un homme
sensible
...
quoi qu'on en pense.
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