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    Il est des temps où le soleil prêche son prestige,
    Arborer les cieux de ses humeurs qu'il afflige;
    Il est des temps où le soleil prêche son prestige,
    Grondent les éloges de ses couleurs admiratives !

    Arborer les cieux de ses humeurs qu'il afflige;
    Trêve chez les dieux sous les étreintes de l'espoir !
    Grondent les éloges de ses couleurs admiratives,
    Farandole féerique annonce la venue du noir.

    Trêve chez les dieux sous les étreintes de l'espoir,
    S'élancent les couleurs par l'appui du merveilleux ;
    Farandole féerique annonce la venue du noir,
    S'avance la symphonie du soir, orchestre prodigieux.

    S'élancent les couleurs par l'appui du merveilleux,
    Révérence du soleil, accueille l'éden de la magie...
    S'avance la symphonie du soir, orchestre prodigieux,
    Danse la lune sous les douze coups de minuit.

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  • ils sont vers ?
    nous laissant sur la fin ?


    néanmoins

    ...

    oh tiens , les voilà !

    regardez-le, il s'échappe
    ..                              .




    ils sont partout. Ici. et là.

    souvent en bande ... ...
    ou en travers ..
                                      .

    ils ... tout était dit.

    As des légumes verts, ils se cachent

    V.I.P.


    Où ? ou ? !

    C'est chouette hein ?

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  • Je t'emmène voler les rayons du soleil,
    Par-delà les ailes des oiseaux, pour que ton âme s'éveille.
    Tu te hâtes dans les champs,
    Cueillir les sourires d'en temps,
    Goûter aux douceurs du printemps...

    Refrain :

    "Tourne, tournons les pages,
    Continuons ces voyages.
    Partons narguer les contes de fées,
    Pour tout ce qu'ils ont à t'envier."

    Nous chevaucherons les nuages,
    Pour décrocher les larmes des cieux.
    En avoir plein les yeux, mi fantasmes mi mirages,
    A la découverte d'un monde pour deux.

    Refrain :

    "Tourne, tournons les pages,
    Continuons ces voyages.
    Partons narguer les contes de fées,
    Pour tout ce qu'ils ont à t'envier."

    Chasseurs des temps modernes,
    Lueurs des étoiles ternes,
    Je t'emmènerai nager,
    Là où tes songes n'auront pieds.

    Devenir le pot de peinture
    Des êtres sans espoir.
    Mis à bas des couleurs,
    Sur leurs ombres pleines d'amertume.

    Refrain :

    "Tourne, tournons les pages,
    Continuons ces voyages.
    Partons narguer les contes de fées,
    Pour tout ce qu'ils ont à t'envier."

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  • Ils errent au loin dans l'ombre du temps,
    Marche funeste sur le trépas des opinions;
    Ils errent au loin dans l'ombre du temps,
    S'étendent à l'horizon, les cris, l'appel à la raison !

    Marche funeste sur le trépas des opinions;
    Les héros s'avancent, las de leurs rêves moribonds.
    S'étendent à l'horizon, les cris, l'appel à la raison,
    Sur la partition des années siffle le sang de l'imagination.

    Les héros s'avancent, las de leurs rêves moribonds;
    Pas par pas dansent les fantômes du passé,
    Sur la partition des années siffle le sang de l'imagination;
    Tournent les pages, coule l'histoire des vaillants honorés.

    Pas par pas dansent les fantômes du passé,
    Ils errent au loin dans l'ombre du temps,
    Tournent les pages, coule l'histoire des vaillants honorés,
    S'étendent à l'horizon, les cris, l'appel à la raison...

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  • J'ouvre ma fenêtre et
    je contemple...
    le regard ébahi,
    les oreilles comme des tambours
    ...

    cet orchestre
    tombé du ciel

    ...

    il pleut des notes,
    mélodie des incompris,
    dansons,
    sortons,
    merci les nuages gris



    ...

    Un jour
    ...
    peut être,
    entendrez-vous

    ...

    Le bruit de la pluie sur le sol.

    Entendrez-vous



    ....

    ses applaudissements ?

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