• Il n'y a que le véritable qui ...

     

     

     

    Il n'y a que le véritable qui ...

    <o:p> </o:p>
    Il nous laisse là, plongé dans un regard vide d’espoir,
    Ce n’est qu’une image vague d’un homme dans ma mémoire ;
    Il est là, sans geste, sans bon vouloir, perdu dans l’air du soir,
    Il erre cherchant ce que le rêve arrache à ses teintes noir.

    Il ne cherche plus ce que le jour pourrait offrir à ses traits
    Au-delà des fantasmes et des contes pour enfants,
    L’art dénude de tout amour cette expression gravant l’abstrait ;
    C’est en le nommant inconnu que la vie ne comptera plus les ans.

    Alors l’ironie s’impose aux cieux sous le cynisme d’un rire blanc,
    Cachant l’éternelle pesanteur dans l’ombre de ses mouvements.
    C’est un monde qui s’effondre et coule, divergeant de vague
    En vague, à la conquête d’une vérité que seule sa nature voit véritable.

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    © Damien Corbet


  • Commentaires

    1
    F. Rahl
    Jeudi 30 Juillet 2009 à 11:15
    La forme lib?e ne vous fait pas pour autant tomber dans la facilit?J'aime beaucoup, j'encourage de tels prodiges.

    Merci
    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :